Parures des trois mondes : Différence entre versions
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Version actuelle datée du 9 septembre 2022 à 11:12
Parures des trois mondes (‘jig rten gsum gyi rgyan)
Signification littérale
—‘jig rten : monde (lit. support de destruction) ; —gsum : trois ; —gyi : marque du génitif ; —rgyan : parure, ornement.
Définition
Cette expression doit être parfois au singulier, auquel cas elle renvoie au Buddha historique.[1] Plus généralement, elle fait référence aux cinq Porteurs-de-Science (rig 'dzin rnam lnga).[2] Les trois mondes sont celui des dieux d'en haut (steng lha), des hommes au milieu (bar mi), et des esprits serpentiformes au-dessous ('og klu).
Notes
- ↑ C'est-à-dire le Buddha Śākyamuni.
- ↑ Comme par exemple dans la série d'hommages composés par Longchenpa en ouverture de son Trésor du Véhicule Suprême (Theg mchog mdzod).
Jean-Luc Achard 22 janvier 2019 à 20:35 (CET)