Parures des trois mondes : Différence entre versions

De Dzogchen wiki
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
 
(4 révisions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 5 : Ligne 5 :
  
 
==Définition==
 
==Définition==
Cette expression doit être parfois au singulier, auquel cas elle renvoie au Buddha historique. Plus généralement,<ref>Comme par exemple dans la série d'hommages composés par [[Longchenpa]] en ouverture de son ''[[Trésor du Véhicule Suprême]]''.</ref>, elle fait référence aux [[cinq Porteurs-de-Science]] (''rig 'dzin rnam lnga''). Les [[trois mondes]] sont celui des dieux d'en haut (''steng lha''), des hommes au milieu (''bar mi''), et des esprits serpentiformes au-dessous ('''og klu'').
+
Cette expression doit être parfois au singulier, auquel cas elle renvoie au Buddha historique.<ref>C'est-à-dire le Buddha Śākyamuni.</ref> Plus généralement, elle fait référence aux [[cinq Porteurs-de-Science]] (''rig 'dzin rnam lnga'').<ref>Comme par exemple dans la série d'hommages composés par [[Longchenpa]] en ouverture de son ''[[Trésor du Véhicule Suprême]]'' (''Theg mchog mdzod'').</ref> Les [[trois mondes]] sont celui des dieux d'en haut (''steng lha''), des hommes au milieu (''bar mi''), et des esprits serpentiformes au-dessous ('''og klu'').
  
==Note==
+
==Notes==
 
<small><references/></small>
 
<small><references/></small>
 
----
 
----
 
Jean-Luc Achard 22 janvier 2019 à 20:35 (CET)
 
Jean-Luc Achard 22 janvier 2019 à 20:35 (CET)
 
[[Catégorie:Vocabulaire technique et philosophique]]
 
[[Catégorie:Vocabulaire technique et philosophique]]

Version actuelle datée du 9 septembre 2022 à 11:12

Parures des trois mondes (‘jig rten gsum gyi rgyan)

Signification littérale

‘jig rten : monde (lit. support de destruction) ; —gsum : trois ; —gyi : marque du génitif ; —rgyan : parure, ornement.

Définition

Cette expression doit être parfois au singulier, auquel cas elle renvoie au Buddha historique.[1] Plus généralement, elle fait référence aux cinq Porteurs-de-Science (rig 'dzin rnam lnga).[2] Les trois mondes sont celui des dieux d'en haut (steng lha), des hommes au milieu (bar mi), et des esprits serpentiformes au-dessous ('og klu).

Notes

  1. C'est-à-dire le Buddha Śākyamuni.
  2. Comme par exemple dans la série d'hommages composés par Longchenpa en ouverture de son Trésor du Véhicule Suprême (Theg mchog mdzod).

Jean-Luc Achard 22 janvier 2019 à 20:35 (CET)